La convention demandée par le ministère fixe le cadre théorique. L’avenant apporte des mesures concrètes. J’ai présenté des projets clés en main à la FFTT.
Il y a un volet sur la communication et un autre concernant la formation. La FFTT possède le réseau, nous avons les compétences en lien avec le handicap. Un quatre pages dédié spécifiquement au handisport sera publié dans la revue fédérale du tennis de table. Nous serons les intermédiaires sur les univers Handisport comme sur les opérations Ping Tour de la FFTT.
Elle consiste à intégrer l’initiateur handisport dans le DEJEPS valide (anciennement Brevet d’Etat). La FFH prend en charge la formation des entraîneurs valides aux bases handisport. Actuellement, la commission en place forme une douzaine d’entraîneurs par an. Suite aux retours positifs de Montpellier cette année, les centres de formation (Paris et Montpellier) enverront tous leurs élèves suivre l’initiation handisport l’an prochain. Nous sommes assurés de former et sensibiliser trente entraîneurs valides. Cela nous permet de fabriquer un réseau sur l’ensemble du territoire et de multiplier les chances d’avoir un entraîneur en mesure d’accueillir un jeune joueur en situation de handicap et de le diriger vers la FFH.
Nous bénéficions de la mise à disposition d’un conseiller technique fédéral valide, Olivier Skenadji, à hauteur de 30 % de son temps. Il officie surtout sur le haut niveau et, de manière minoritaire, sur la formation. La FFTT pourrait aussi mettre à disposition de l’équipe de France paralympique la salle spécialisée de l’INSEP.
// J. Soyer
Plus d’infos sur : www.tthandisport.org
haut de page