Il y avait de la déception dans le camp tricolore, rejoint en Ecosse par Jean Minier, Directeur Technique National de la FFH et Dominique Latterade, directeur de la MOP (Mission d’Optimisatipon de la Performance des fédérations olympiques et paralympiques de l’INSEP), samedi soir. Les espoirs de médaille étaient en effet logiques au regard du programme de la journée. Notamment avec Elodie Lorandi sur 100 m nage libre.
Mais la chef de file tricolore a échoué à la quatrième place, bouclant sa finale en 1’01’’36. A quelques dixièmes du podium.
Anaëlle Roulet, elle, n’a pas franchi le cap des séries, malgré une course intéressante et un temps proche de sa meilleure marque (1’05’’79).
Stéphanie Douard, elle, s’est qualifiée pour la finale du 100 m brasse, malgré une petite montée de stress. Au sortir du virage, cette nageuse non-voyante s’est en effet retrouvée dans la ligne d’eau d’à côté, heureusement inoccupée.
Partie ligne 2 en finale, elle bouclera la distance à la cinquième place, en 1’38’’25, son meilleur temps depuis les Jeux paralympiques de Londres.
Ce dimanche, dernier jour de compétition, les Bleus seront presque tous en lice. On suivra avec attention le 400M nage libre d’Elodie Lorandi et d’Anaëlle Roulet, le 50 m NL de Charles Rozoy, le 50 m dos de David Smétanine et le 100 m NL de Theo Curin et Anita Fatis. // J. Soyer
Photo © Luc Percival
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