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Les Bleus enchaînent bien

25 août 2015
Après une courte victoire (1-0) lundi contre la Belgique, les Bleus ont offert, hier après-midi, une deuxième victoire d’affilée à leur public. Contre la Grèce, ils se sont imposés sur le score de 1-0.

Résumé du match

Bien dans leur match dès le coup d’envoi, les Bleus ont multiplié les offensives devant des Grecs qui n’arrivaient pas à passer le milieu de terrain.

Lancés par un David Labarre des grands jours, les jeunes attaquants Yvan Wouandji et Fabrice Morgado ont eu tour à tour l’occasion d’ouvrir le score, tandis que Jérôme Pénisson assurait sereinement la défense.

Fabrice Morgado, accroché par le gardien grec à la 12ème minute dans la surface de réparation, a bénéficié d’un pénalty, que David Labarre n’a pas transformé.

Ce dernier s’illustrera quelques minutes plus tard, cette fois sur coup franc ; une frappe qui, si elle n’avait pas été repoussée par Georgios Ampatzis sur le coin du but, partait en pleine lucarne.

Yvan Wouandji, de plus en plus percutant, a lui aussi frappé le poteau durant la première période.

Toujours agressifs en défense, les joueurs français ont néanmoins accumulé 4 fautes d’équipe et offert une double pénalité à leurs adversaires ; certainement la seule occasion franche de la Grèce dans cette partie, même si elle est passé très loin des cages de Samir Gassama.

Malgré une domination totale dans tous les compartiments du jeu, et de nombreuses tentatives face au but, le score était encore nul et vierge à trois minutes de la fin du match. Les Bleus ne se sont pas découragés pour autant et ont continué leur pressing.

Dans un souci d’organisation de l’équipe, Lucas Ignatowicz a pris un temps mort et fait rentrer Arnaud Ayax à la pointe de l’attaque. Ce dernier s’est immédiatement montré dangereux devant les buts adverses.

Finalement, c’est une nouvelle fois le capitaine de l’Equipe de France qui a pris ses responsabilités en trouvant le chemin des filets, grâce à une frappe sèche et lourde faisant suite à une montée rageuse. //T. Aubert

Le mot du capitaine David Labarre

« Je commençais à avoir les jambes lourdes, et j’étais frustré d’avoir manqué ce pénalty en début de match. Il y a eu ce temps mort, et j’ai dit à mon sélectionneur que je sentais que je pouvais encore leur faire mal. Il m’a dit “ vas-y ”. Quelle délivrance pour moi et pour toute l’équipe quand j’ai entendu le cri de notre guide Manu ! C’est là que j’ai réalisé que j’avais marqué, et ça a été une explosion de joie ».

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