Signalement de violence
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Équitation

PARALYMPIQUE

Capacités développées

  • Équilibre
  • Tonus musculaire
  • Habiletés techniques équestres
  • Autonomie

Accessible à la plupart des handicaps, l’équitation se pratique en loisir ou en compétition, avec ou sans aménagement. Le choix du cheval, de l’équipement et de la structure d’accueil nécessite parfois un accompagnement que propose la commission fédérale. La discipline se pratique exclusivement dans les établissements affiliés à la Fédération Française d’Équitation, dont certains ont ouvert une section handisport.

En images


Pratique

Le contact, la relation privilégiée avec l’animal, la possibilité d’être transporté et de partager les plaisirs de cette discipline à plusieurs sont autant de qualités qui la rendent accessible à un large public, pourvu que l’encadrement soit compétent et les techniques employées adaptées et sécurisantes. Chacune de ces disciplines peut être pratiquée en loisir ou en concours :

  • Dressage : réalisation d’une série de figures imposées ou libres en musique.
  • Saut d’obstacles : franchir des obstacles dans un ordre précis et sans les renverser.
  • Attelage : le cheval est utilisé comme moyen de traction dans le cadre de balades ou de concours.

Voir le tableau des Handicaps & possibilités de pratique

Retrouvez toutes les informations concernant cette discipline sur :

le site de la Fédération Française d’Equitation

En compétition nationale, le dressage et le concours de saut d’obstacles sont organisés, mais seul le dressage propose à ce jour un circuit international. Selon le type de handicap, le cavalier est orienté vers le grade de compétition (I à IV) le plus adapté à ses possibilités d’évolution équestre.

Retrouvez toutes les informations concernant cette discipline sur :

le site de la Fédération Française d’Equitation

Désormais, retrouvez toutes les informations concernant cette discipline sur :

le site de la Fédération Française d’Equitation

Consulter le Calendrier

Des adaptations du matériel sont parfois nécessaires pour répondre à des conditions de sécurité et de confort pour le pratiquant.

HANDICAP MOTEUR

  • Selles : des systèmes de calage existent afin de maintenir les jambes du cavalier en place, tout en laissant cependant la possibilité aux jambes de se dégager (ne pas attacher la jambe).
    Des poignées de sécurité peuvent également être ajoutées à la selle (tel que sur les harnais de voltige) afin d’offrir une possibilité supplémentaire de se tenir.
    Enfin, on peut trouver des selles biplaces. Conçu tout d’abord dans un souci pédagogique pour faciliter l’apprentissage de l’équitation, ce type de selle répond également aux préoccupations handisports grâce à la possibilité de faire accompagner la personne en situation de handicap par une personne valide directement sur l’animal.
  • Rênes : des possibilités d’adaptation existent pour faciliter la préhension et la tenue des rênes dans un souci d’autonomie et de sécurité du cavalier.
  • Montoirs ou Rampes :
    Permet de monter certains cavaliers sur le cheval avec plus de facilité et de confort. Les réglages des ces adaptations sont généralement personnalisées afin de correspondre au mieux aux capacités du cavalier(e).

HANDICAP VISUEL

Pour les cavaliers déficients visuels, des aides sonores («crieurs ») peuvent être proposées. 

GRAND HANDICAP

Pour les personnes atteintes d’un grand handicap, il existe aussi une forme de pratique adaptée grâce à l’équimobile ou l’hippomobile (carriole aménagée pour l’accès en fauteuil roulant) leur permettant de s’adonner au plaisir de l’équitation tout en restant sur leur fauteuil.